Découvrez tous les renseignements dont vous avez besoin pour vous guider dans vos démarches
Les frais d’hospitalisation dépendent des actes qui ont été effectués pendant votre séjour (consultations, chirurgie, soins, examens, etc.) dont les tarifs sont déterminés par la Sécurité sociale.
Le forfait journalier est une participation des patients aux frais d'entretien et d'hébergement liés à leur séjour d'hospitalisation. Son prix est fixé par arrêté ministériel. Il est de 20 €/jour en hôpital ou clinique et 15 €/jour dans le service psychiatrique d'un établissement de santé
En présence d’une maladie rénale, les lésions se constituent silencieusement. Lorsque l’insuffisance rénale apparait, 80% des structures rénales (les néphrons) sont déjà détruits. Cela signifie que les reins ne fonctionnent plus qu’avec 20% de leur capital, qu’il est essentiel de préserver.
Les facteurs de risques (diabète, hypertension artérielle, obésité, maladie cardiovasculaire…) mettent déjà à mal le bon fonctionnement des reins en les sollicitant trop. C’est pourquoi, il est d’autant plus important pour les personnes présentant ces risques de les contrôler avec l’aide de leur médecin et d’adopter une hygiène de vie équilibrée.
Même en l’absence de ces facteurs, il est important de prendre soin de son capital rénal dès son plus jeune âge. Les mesures de prévention concernant l’hygiène de vie, sont d’ailleurs les mêmes, que l’on soit porteur d’une maladie rénale ou non.
Si vous ne savez pas trop vers quels aliments vous tourner, vous pouvez prendre conseil auprès d’un diététicien qui établira avec vous un bilan des aliments à favoriser et ceux à éviter ainsi que les proportions dans lesquelles vous pouvez les consommer.
En pratique, préparer les recettes de la semaine à l’avance, éviter d’aller faire ses courses lorsqu’on a faim et être attentif à la composition et la qualité nutritionnelle des aliments (privilégier les produits ayant un Nutriscore A et B par exemple) sont des premières étapes faciles à mettre en place pour mieux manger et qui contribuent fortement à la protection des reins.
Une alimentation équilibrée est indissociable d’une activité physique régulière car leur association permet de lutter contre les premières causes de maladies rénales : le diabète et l’hypertension artérielle.
Une fréquence moyenne de 30 minutes d’activité physique modérée par jour, adaptée à votre état de santé, permet de maintenir votre organisme en forme et contribue efficacement à la protection des reins.
Les reins sont composés de pleins de petits et gros vaisseaux qui participent à son bon fonctionnement. Or le tabac vient abimés ces vaisseaux et accélère la dégradation des reins.
Pour en savoir plus sur ces mesures et comment les adopter au quotidien : www.mangerbouger.fr
Être aidant, ce n’est pas seulement faire preuve de bonne volonté. C’est aussi une charge nouvelle qui peut affecter votre santé. Même les plus organisés accumulent de la fatigue. Le moral est mis à rude épreuve. Il est difficile de voir un proche perdre son autonomie. On met de côté ses propres émotions pour mieux aider, même si intérieurement on est bouleversé. Beaucoup ressentent également de l’insécurité et du stress. Face à la fragilité de votre proche, vous ne disposez pas de toutes les réponses, et cela est naturellement stressant.
Un questionnaire pour évaluer la charge de travail en tant qu’aidant
De manière générale, les aidants ont tendance à négliger leur propre besoin d’aide. C’est une attitude naturelle de déni. « C’est mon mari qui a besoin d’aide, pas moi », entend-on souvent. Plus la maladie et/ou la perte d’autonomie évoluent, plus les tâches s’ajoutent et sont complexes. Vous pensez pouvoir tout assumer. En réalité, vous entamez votre propre capital santé.
Insomnie, découragement et tristesse, prise croissante de médicaments, inattention, manque de vie sociale… si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, il est temps de prendre soin de vous.
N’hésitez pas à demander de l’aide auprès du Centre Communal d'Action Sociale. L’aide-ménagère à domicile et le portage de repas par exemple libèrent du temps pour mieux vous concentrer sur votre proche. Les associations d’aidants sont d’excellents conseils pour vous organiser.
Accordez-vous des pauses, pour vous reposer et retrouver votre équilibre propre. Comment faire ? Planifiez une heure par jour, un temps de sieste, de shopping, de promenade. Surtout notez-le dans votre agenda : cela doit avoir la force d’un rendez-vous à ne pas manquer. Un vrai réflexe de vie.
Vos proches sont aussi un appui. Proposez-leur d’organiser une activité en commun, une fois par semaine, comme un cinéma, une exposition, un cours de gym. L’objectif est d’occuper votre esprit avec d’autres centres d’intérêt.
C’est bon signe : le rôle des aidants est de plus en plus reconnu en France. Un droit au répit leur a été accordé en France depuis fin 2018. L’objectif : vous permettre de souffler grâce à des solutions de remplacement pour aider votre proche. En savoir plus.
Si vous-mêmes avez besoin d’être hospitalisé, ne repoussez pas l’échéance. Des solutions de relais sont possibles. Une aide ponctuelle peut être accordée, afin de vous remplacer durant votre hospitalisation et votre convalescence.
Cette aide peut financer :
Deux interlocuteurs pour l’obtenir :
Si cela est possible, planifiez le plus en amont possible votre hospitalisation, afin d’avoir davantage de possibilité d’accueil pour votre proche.
Le déroulement de la prise en charge du cancer de la prostate dépend du stade évolutif de la maladie. S’il ne souffre pas de symptôme, que le cancer est localisé et à faible risque évolutif, une surveillance régulière et répétée sera mise en place.
Elle consiste en une surveillance sanguine du taux de PSA (Antigène Prostatique Spécifique), d’un toucher rectal et de biopsies de contrôle pour juger de l’évolution du cancer.
Si au cours de cette surveillance le cancer de la prostate s'aggrave, un traitement est mis en route en concertation avec le patient.
L'équipe médicale établit un programme qui fait appel à une ou plusieurs possibilités de traitement :
Conjointement à ces traitements, des soins de support peuvent être proposés dans le but d’améliorer la qualité de vie des patients et de leur entourage sur les plans physique, psychologique et social.
Ils aident à mieux vivre avec sa maladie et à gérer les effets indésirables potentiels des traitements.
En fonction des besoins du patient, une prise en charge multidisciplinaire pourra être proposée avec un kinésithérapeute pour de l’activité physique adaptée, une diététicienne pour assurer un suivi nutritionnel, un psychologue, un algologue (spécialiste de la douleur), ou encore un spécialiste de la sexualité.
Si des inquiétudes se présentent sur la situation familiale, financière ou professionnelle, une assistante sociale peut répondre aux questionnements et accompagner dans les démarches.
A toutes les étapes de la prise en charge du cancer de la prostate, du diagnostic à la fin du traitement, les émotions s'enchaînent comme dans les montagnes russes.
Les symptômes liés aux troubles urinaires et sexuels peuvent engendrer une perte de confiance et d'estime de soi.
Un soutien psychologique peut être bénéfique pour s’informer sur les conséquences émotionnelles du cancer et aider à gérer ses émotions.
Un site créé par une personne ayant été atteinte d’un cancer qui a décidé de consacrer du temps au profit de ceux qui en ont besoin, en créant le premier site spécialisé pour les hommes atteints d’un cancer qui propose des informations utiles qui pourront faciliter leur quotidien.
Une ligne téléphonique et un blog pour concilier maladie et travail. Alex répond à toutes les questions sur le cancer et les maladies chroniques au travail. Vous pouvez retrouver sur le blog des informations sur les dispositifs et les personnes qui peuvent aider et relayent les témoignages de tous ceux qui veulent partager leur expérience de vie professionnelle pour inspirer les autres.
Un calendrier mictionnel digital qui consiste à recueillir des informations sur les mictions, les boissons consommées, les fuites urinaires et leur survenue.
Télécharger l'application sur l'AppStore.
Ce site est destiné à améliorer la connaissance du grand public, des patients et des professionnels de santé et participer ainsi à l’amélioration de la prise en charge de la maladie.
Ce guide a été publié en octobre 2016 avec le soutien financier de la Ligue nationale contre le cancer dans le cadre dans le cadre du plan cancer 2014-2019. Vous trouverez dans ce guide des explications sur la surveillance et les traitements possibles, leurs buts, leur déroulement et leurs effets indésirables, sur le rôle des différents professionnels que vous rencontrez, ainsi que des informations pratiques et des ressources utiles pour vous et vos proches. Il présente également, en annexe, une description des examens réalisés lors du diagnostic. Enfin, un glossaire définit les mots que vous entendrez peut-être au cours de vos traitements.
“Fin du canCER et début de l'HOMme” est une association portant sur les cancers masculins afin de les faire sortir de l'ombre.
Elle a pour objet de créer une solidarité entre anciens et nouveaux patients atteints d'un cancer masculin et leur entourage, ainsi que toute personne intéressée. L'association cherche en particulier à faciliter les contacts entre eux, permettant ainsi de contribuer à mieux informer et rassurer les nouveaux patients.
Elle récolte des fonds pour aider la recherche, améliorer le traitement, la prise en charge globale et la vie pratique des patients atteints de ces cancers et faire vivre l’association.
CERHOM a également pour but de favoriser l'information et la prévention concernant les cancers masculins ainsi que favoriser l'accès aux traitements innovants.
L’APCLP (Association de patients porteurs d’un cancer de la prostate) est une association de patients solidaires pour aider avant, pendant et après le traitement. Une association à l’échelle régionale et extra régionale, à l’écoute du patient, qui peut apporter une aide à la décision du choix de traitement proposé par son urologue.Elle a aussi pour vocation, de l’aider tout au long du suivi de sa thérapie.
Association nationale des malades du cancer de la prostate. Le souhait de l’ANAMACaP est d’informer, d’accompagner et de créer une communauté pour lutter ensemble contre cette pathologie, par le préventif autant que par le curatif.
Chaque année, l’association organise une journée scientifique médecins-patients où les dernières actualités diagnostiques et thérapeutiques sont traitées.
L’ANAMACaP organise également des conférences grand public et participe à de nombreuses journées de sensibilisation et d’information dans les établissements de soin. L’un des fondements de l’ANAMACaP est de faire des malades des patients éclairés, qui deviendront acteurs de leur propre santé.
Une association qui souhaite changer le visage de la santé des hommes. Depuis 2003, Movember a financé plus de 1250 projets autour de la santé des hommes dans le monde, remettant en cause le statu quo, bouleversant les recherches sur ce sujet et transformant la façon dont les services de santé atteignent et soutiennent les hommes.
Le contenu du site Urologie-sante.fr s'adresse aux patients, au grand public et aux médecins non-urologues pour les informer sur les différentes pathologies urologiques, leur prise en charge, les actualités et campagnes de sensibilisation. Le comité éditorial du site Urofrance est composé de médecins spécialistes, qualifiés en chirurgie urologique et membres titulaires de l'Association française d’urologie.
Comment prendre soin de soi lorsqu'on doit prendre soin d'un proche ? En tant qu'aidant, vous êtes parfois confronté à une charge affective et psychique importante. Vos proches se reposent dorénavant sur vous pour la plupart des gestes nécessaires à leur maintien à domicile et cela peut engendrer fatigue et même parfois découragement. Il est donc crucial que, tout en témoignant à vos proches toute l'attention que leur état mérite, vous continuiez à prendre soin de vous. Voici quelques conseils simples à appliquer qui vous aideront à garder optimisme et énergie jour après jour.
Devenir aidant, c'est prendre en charge les besoins d'un proche dont les fonctions motrices ou cognitives déclinent. Les aidés peuvent avoir du mal à assumer cette perte d'autonomie. Et cela peut compliquer la relation avec l'aidant.
Lorsque la situation devient trop pesante, il est parfois souhaitable de faire appel à un tiers. Un psychologue spécialisé dans l'écoute des personnes âgées peut intervenir soit à domicile, soit en milieu hospitalier. Il permettra à l'aidé d'exprimer ses sentiments et ses angoisses, améliorant ainsi la communication avec l'aidant.
Le plus important reste de briser l'isolement qui peut entourer aidant et aidé. Aidant, c'est un rôle de soin de l'autre, mais cela ne veut pas dire qu'il faille assumer cette tâche seul. Vous pourrez trouver du soutien dans les groupes de parole et d'écoute tels que les Cafés des aidants créés par l'Association Française des Aidants. Vous pourrez partager votre expérience avec vos pairs, aborder ensemble vos difficultés et trouver des solutions pour rebondir. Les conseillers de notre cellule d'aidance sont également à votre écoute.
Un sondage récent commandé par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) révèle que 48 % des aidants déclarent avoir une maladie chronique, 29 % se sentent anxieux et stressés et 25 % disent ressentir une fatigue physique et morale.
Vous le constatez jour après jour, prendre soin d'autrui demande une vitalité à toute épreuve. En plus des tâches quotidiennes, il faut veiller au moral de l'aidé. En tant qu'aidant, cependant, la tentation est grande d'oublier ses besoins essentiels. N'hésitez pas à vous ménager des instants rien que pour vous. Vous n'en serez que plus disponible pour votre proche.
Soyez à l'écoute de vous-mêmes et ne négligez pas l'apparition des premiers symptômes du surmenage. Certaines manifestations doivent vous alerter sur la nécessité de prendre du repos. Insomnies, douleurs articulaires chroniques ou irritabilité sont autant de lanceurs d'alerte. La fatigue et les problèmes de dos sont souvent associés au stress et au surmenage. N'hésitez pas à vous rapprocher de votre médecin généraliste dès l'apparition de ces signes.
En prévention, organisez votre semaine de façon à vous ménager du temps libre et à pratiquer des activités de bien-être. Pilates, yoga ou gymnastique douce, par exemple, vous permettront de renforcer les muscles posturaux très sollicités dans les soins quotidiens à l'aidé.
Des professionnels peuvent vous aider au quotidien à prendre soin de votre proche. Vous pouvez par exemple faire appel à une aide-ménagère ou à une aide-soignante. Mobilisez les autres membres de la famille et établissez autour de vous une chaîne d'entraide. Vous pourrez retrouver un second souffle en vous appuyant sur des structures comme l'accueil de jour. Vos proches y seront pris en charge par des équipes pluridisciplinaires. Ils pourront y pratiquer des activités variées dédiées à l'entretien des fonctions motrices et psycho-cognitives.
Rapprochez-vous d'intervenants professionnels tels que les ergothérapeutes. Ils vous aideront à mieux gérer les manœuvres techniques et à repenser l'aménagement du domicile de l'aidé pour faciliter les gestes du quotidien.
Vous pouvez également vous former aux techniques du maintien à domicile. Rapprochez-vous de la Croix-Rouge ou de la Protection Civile ainsi que des centres locaux d'information et de coordination (CLIC), des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) pour ne citer qu'eux. Ces organismes dispensent des formations dédiées aux aidants familiaux portant sur les soins corporels ou le soutien psychologique aux aidés. L'association française des aidants (AFA) a depuis peu lancé des modules de formation à distance couvrant des thématiques très concrètes telles que "Comment concilier sa vie d'aidant avec sa vie personnelle et sociale".
Pendant vos vacances, un hébergement temporaire ou bien un accueil familial peut vous permettre à partir en toute quiétude. Vous pourrez assurer une partie du financement grâce au droit au répit. Enfin, l'installation de la téléassistance au domicile de votre proche peut vous permettre de rentrer chez vous en sachant que le lien est maintenu quoiqu'il arrive.
N'hésitez pas à remplir notre questionnaire pour de plus amples renseignements sur les solutions d'accompagnement existantes. N'oubliez pas qu'il existe toujours des chemins pour trouver de l'aide et refaire le plein d'énergie. Pour aller plus loin, consultez notre article sur l'isolement et le lien social : un enjeu primordial pour les aidés et aidants, afin de mieux comprendre la nécessité de vous entourer d'un maximum de soutien.
Le portage de repas est un dispositif pratique et adapté aux besoins de nos proches qui perdent en autonomie. Idéal pour conserver une alimentation variée et savoureuse au quotidien et pour lutter contre la solitude, il fait partie des solutions permettant d’organiser le quotidien de l'aidé à domicile.
Il faut savoir que 30 à 50 % des personnes âgées souffrent de malnutrition protéino-énergétique et de carences.
Les avantages du portage de repas :
Le portage des repas à domicile pour les personnes âgées peut être pris en charge financièrement par la commune ou le département lorsque la personne aidée remplit plusieurs conditions :
Pour bénéficier de la prise en charge du portage de repas à domicile mise en place par le département, vous devez faire appel au CCAS de la ville de résidence de la personne aidée.
Plusieurs organismes proposent des portages de repas à domicile :
Le point d'information local dédié aux personnes âgées, à leurs proches et aux aidants vous aidera à trouver et à contacter les différents organismes concernés. Aussi connus sous le nom de CLIC (centre local d’information et de coordination gérontologique), ces espaces d'écoute et de conseil peuvent vous apporter tous les renseignements nécessaires pour faire face à une situation de perte d’autonomie : démarches à accomplir pour obtenir l'APA et offre de services d’aides à domicile, de portages de repas... Pour connaître les coordonnées des CLIC, vous pouvez vous renseigner auprès du conseil départemental dont dépend l'aidé.
Vous aurez accès à des tarifs de portage de repas à domicile divers en fonction des organismes. Vous pouvez, par exemple, opter pour la livraison de plateaux par une entreprise de services privée ou par une association d'aide à la personne. Le tarif du repas à domicile sera généralement compris entre 8 et 15 € (livraison incluse). Le montant pourra être dégressif en fonction des ressources de vos proches bénéficiaires (pour les associations).
Vous pouvez également vous rapprocher des collectivités locales. En effet, la commune où résident vos proches propose peut-être des services de portage de repas à domicile pour personnes âgées. Le prix des prestations de portage de repas des CCAS (centres communaux d'action sociale) varie selon le quotient familial et les ressources des bénéficiaires.
Afin de privilégier le maintien au domicile et la santé des seniors, les pouvoirs publics proposent des aides au paiement du portage de repas à domicile pour personnes âgées.
Le département peut prendre en charge tout ou partie du prix du portage de repas à domicile. Pour bénéficier de cette aide, vos proches doivent être dans une situation de perte d'autonomie et percevoir des ressources limitées (au maximum : 906,81 € par mois pour une personne seule et 1 407,82 € par mois pour un couple). Ils doivent également être âgés de plus de 65 ans (ou 60 ans s'ils sont reconnus inaptes au travail). Il est aussi possible que la commune de vos proches participe au financement des repas.
S'ils ont plus de 60 ans et qu'ils présentent un certain degré de perte d'autonomie (entre autres conditions), vos proches aidés peuvent bénéficier de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA). Suivant leur département de résidence, cette allocation peut être utilisée pour financer le portage de repas à domicile.
Bon à savoir : vos proches ne sont bénéficiaires ni de l'APA ni des aides des collectivités ? N'hésitez pas à vous renseigner auprès de leurs caisses de retraite (de base et complémentaire), qui peuvent offrir une prise en charge du portage de repas à domicile.
Vos proches bénéficient du portage de repas dans le cadre d'un bouquet global de services, dont au moins une prestation est effectuée à leur domicile (comme du ménage) ? Alors ils peuvent profiter d'un crédit d'impôt égal à 50 % de leurs dépenses annuelles. Vous ou la personne qui s'occupe de remplir les papiers des personnes aidées devez indiquer les sommes réglées sur leur formulaire de déclaration de revenus. Vous trouverez le montant à déclarer sur l'attestation fiscale fournie par l'organisme de service à la personne.
Bon à savoir : les montants pris en compte pour le crédit d'impôt correspondent uniquement aux sommes réglées pour le service de livraison. Le prix des repas à domicile en eux-mêmes (coût des aliments et de leur préparation) n'entre pas en jeu. Par ailleurs, les aides départementales et l'APA doivent être déduites du montant déclaré.
Le maintien à domicile d'une personne âgée en perte d'autonomie reste la solution privilégiée. En effet, en continuant à vivre chez lui, votre proche évolue dans un environnement connu. Il y possède des repères et des souvenirs, et y conserve ses habitudes.
Toutefois, plusieurs situations peuvent vous amener à revoir ce schéma de vie :
Lorsque les limites du maintien à domicile d'une personne âgée sont atteintes, plusieurs choix s'offrent à vous et à votre proche aidé.
L'entrée en EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) est une alternative privilégiée. Dans un établissement adapté, disposant d'infrastructures médicales, la personne aidée est encadrée et soignée de jour comme de nuit. De votre côté, vous vous sentez rassuré de savoir votre proche pris en charge par des professionnels compétents, formés aux besoins des personnes âgées ayant perdu leur autonomie.
Votre proche est très dépendant et nécessite une surveillance médicale accrue ? Une unité de soins de longue durée (USLD) pourrait lui convenir. Cette structure hospitalière prend en charge la vie quotidienne et la coordination des soins, de manière plus poussée qu'un EHPAD.
Si votre proche aidé est atteint de la maladie d'Alzheimer ou d'une pathologie apparentée, il pourra intégrer une unité d'hébergement renforcée (UHR). Incluses aux EHPAD et aux USLD, ces unités sont dédiées aux personnes présentant des symptômes avancés.
Les limites du maintien à domicile de votre proche âgé se dessinent, et celui-ci doit se résoudre à quitter son domicile pour intégrer un établissement spécialisé ? C'est une étape délicate à gérer, pour la personne aidée comme pour vous. En effet, face à cette situation, votre proche peut éprouver du désarroi. De votre côté, vous pouvez vous sentir coupable de ne plus avoir les moyens de maintenir la personne aidée dans son logement, et vous pouvez avoir peur qu'elle vous en veuille.
Si la communication est difficile, n'hésitez pas à introduire un tiers pour aborder le sujet de la perte d'autonomie et de la vie en institution. Votre proche prendra peut-être mieux la mesure de la situation si les informations lui sont fournies par une personne extérieure. Ce tiers peut être un professionnel (par exemple, le médecin traitant de votre proche), ou non. L'essentiel étant qu'il soit empathique et rassurant dans ses paroles.
La perte d'autonomie de votre proche augmente, mais vous souhaitez prolonger son maintien à domicile le plus longtemps possible ? Une alternative existe : l'hébergement temporaire en EHPAD. Avant une entrée définitive en maison de retraite, la personne aidée pourra effectuer des séjours en établissement médicalisé de manière occasionnelle, tout en continuant à résider chez elle le reste du temps.
Si vous faites partie des 11 millions d'aidants que compte la France, vous savez que ce rôle peut s'avérer complexe et fatigant. En tant qu'aidant naturel, vous devez concilier à la fois vos vies personnelle et professionnelle et l'organisation quotidienne de votre proche aidé. Toutefois, pour mener à bien cette mission, votre bien-être et votre santé sont primordiaux...
La loi du 28 décembre 2015 sur l’adaptation de la société au vieillissement définit l’aidant naturel d'une personne en perte d'autonomie. Il s'agit de celui ou celle « qui lui apporte son aide pour une partie ou la totalité des actes de la vie quotidienne de manière régulière et à titre non professionnel ». L'aidant accompagne donc une personne en état de dépendance, de handicap ou dans certains cas atteinte de la maladie d'Alzheimer, dans l'organisation de son quotidien.
Selon cette loi, l'aidant naturel peut être un aidant familial comme un conjoint, un concubin, un partenaire avec lequel la personne a conclu un pacte civil de solidarité, un enfant ou encore un parent. Il peut s'agir également d'un proche aidant qui habite ou entretient des liens étroits et stables avec la personne aidée, comme un ami ou un voisin.
Être aidant d’un proche revient à mener deux vies parallèles. Vous gérez votre quotidien, à savoir votre foyer et votre emploi, de même que celui de votre proche aidé. Selon sa perte d’autonomie, cela consiste à réaliser ses démarches administratives, préparer ses repas, faire son ménage ou encore sa toilette. Des responsabilités bien concrètes qui peuvent représenter une charge mentale invisible au quotidien.
Ce rôle d'aidant est d'autant plus délicat lorsque vous êtes seul à tout prendre en charge. Comme beaucoup d'aidants naturels, vous aurez peut-être tendance à faire passer en priorité le bien-être de l'aidé au détriment du vôtre. Ainsi, lorsque vous commencez à ressentir du stress ou de la fatigue, c'est sans doute qu'il est temps de vous ressourcer.
Assurer votre bien-être est tout aussi important que celui du proche à qui vous portez assistance. C'est la condition essentielle pour que vous puissiez continuer de mener à bien votre rôle d'aidant naturel. En tant que proche aidant, vous pouvez avoir tendance à reporter vos rendez-vous médicaux, à ne pas vous accorder suffisamment de moments de repos ou encore à vous isoler. Les conséquences sont souvent l'épuisement moral et physique. Or, différentes solutions existent pour que vous puissiez vous occuper de vous sans que cela remette en cause votre rôle d'aidant.
Connaissez-vous le droit de répit ? Ce dispositif figure dans la loi d'adaptation de la société au vieillissement et concerne les proches aidants des personnes âgées en perte d'autonomie ou des personnes atteintes d'un handicap. Il a pour objectif d'aider les aidants familiaux. Il vous permet de financer l'accueil de l'aidé dans une structure de jour ou de nuit, dans un hébergement ou la mise en place d'un relais à domicile.
Pour bénéficier de ce droit, votre proche doit percevoir l'APA (allocation de perte d'autonomie). Par ailleurs, il faut que vous seul assuriez le rôle d'aidant et que personne ne puisse vous remplacer en cas d'absence. Pour les personnes en situation de handicap, les frais d'accueil sont partiellement pris en charge par l'Assurance Maladie.
Vous pouvez ainsi souffler et vous reposer quelques jours ou quelques heures tout en étant rassuré sur l'encadrement de votre proche. Pour prévenir l'épuisement et prendre du temps pour vous, le placement en accueil de jour de l'aidé ou les centres de répit font partie des solutions existantes.
Faute de temps ou d'envie, les aidants naturels minimisent ou font parfois abstraction de leurs besoins médicaux. Pour vous aider à préserver votre santé, nous mettons en place des solutions comme la téléconsultation, notre solution de télémédecine vous assure une réponse simple et rapide.
Il est également important de prendre du temps pour vous. En tant qu'aidant naturel, vous avez peut-être l'impression que les loisirs ou les moments de détente ne sont pas essentiels. Ils contribuent pourtant à votre bien-être. N'hésitez donc pas à consacrer du temps à des activités qui vous font plaisir et qui peuvent vous permettre d'extérioriser ou de décompresser, que ce soit par la pratique d'une activité sportive, manuelle ou artistique. Vous aimez mieux vous divertir en allant voir un film, une exposition ou un concert ? Intégrer ces pauses dans votre quotidien aura une influence bénéfique sur votre humeur, votre moral et par conséquent sur votre proche aidé.
Lorsque vous êtes aidant naturel, vous avez tendance à restreindre vos sorties par manque de temps. De même, vous ne parlez pas ou peu de votre quotidien à votre entourage. N'hésitez pas à vous réserver des moments en famille ou entre amis. Conserver un lien social est primordial pour un aidant comme pour un aidé. Le risque est de vous enfermer dans votre rôle d'aidant et d'entrer dans une souffrance psychologique et un isolement social.
En tant qu'entrepreneur du mieux-vivre, nous vous soutenons également dans votre quotidien d'aidant naturel en proposant des solutions pour votre bien-être. N'hésitez pas à remplir notre questionnaire qui vous orientera, en fonction vos besoins, vers des groupes de paroles ou encore vers un accompagnement psychosocial.
Les services à la personne sont aussi une aide pour les aidants. Déléguer les tâches chronophages, comme le ménage ou les repas, vous permet de libérer du temps pour d'autres activités. La relation que vous entretenez avec votre proche n'en sera que consolidée.
Les organismes publics ou privés proposent des services d'aide à domicile pour effectuer les tâches quotidiennes. Ce qui contribue à vous libérer du temps tout en ayant l'assurance que votre proche est encadré par un professionnel. Il s'agit entre autres de la toilette de la personne aidée, la préparation de ses repas, son ménage. D'autres prestations pratiques existent comme la livraison de repas à domicile ou encore des médicaments. Tout ceci représente un coût qui peut être pris en charge en partie par les aides, mais aussi par une mutuelle grâce à un contrat de dépendance. Il vous permet d'anticiper la perte d'autonomie.
Lorsque le rôle d'aidant naturel occupe tout le quotidien, le risque existe de faire un burn-out à moyen terme. Avant d'en arriver à cette situation extrême, sachez repérer les signes à la fois physiques et psychologiques qui doivent alerter.
Les signes physiques peuvent se caractériser par une fatigue chronique, un sommeil troublé, une perte d'appétit ou une tendance au grignotage, une perte ou une prise de poids, voire des douleurs lombaires. Pour les signes psychologiques d'un épuisement, vous pouvez ressentir de la lassitude, un sentiment d'échec ou de frustration ou encore de l'irritabilité, un manque de patience ou de l'agressivité. Ces sentiments peuvent nuire à la relation que vous entretenez avec l'aidé.
Si vous ressentez l'un de ces symptômes, n'hésitez pas à prendre contact avec un conseiller de notre cellule d'aidance. Ce dispositif a pour vocation d'aider les proches aidants et de leur apporter des solutions concrètes.
Chaque parcours étant unique, renseigner le questionnaire vous permettra de trouver une solution personnalisée pour assurer une qualité de vie à votre proche tout en prenant en compte vos impératifs personnels. Il arrive également un moment où les limites du maintien à domicile sont atteintes et mettent en péril le bien-être de l'aidé et de l'aidant naturel. Dans cette perspective, nous vous guidons pour choisir un lieu d'hébergement adapté.
Conserver une activité physique compatible avec son niveau d’énergie est une manière efficace d’être mieux dans ses baskets en boostant sa fierté une fois la séance effectuée. Et oui, votre corps n’est pas “que” malade, il est aussi capable de réaliser des mouvements qui vous font vous sentir bien. La pratique d’une activité physique permet de produire de l’endorphine, l'hormone du plaisir, connue pour ses vertus anti-douleurs et anti-stress. Pour continuer ou reprendre une activité physique adaptée à votre état de santé, vous pouvez vous faire accompagner par des éducateurs en APA (activité physique adaptée). Les éducateurs prendront en compte votre parcours médical, vos symptômes et vos aptitudes pour créer une routine sportive compatible avec vos objectifs. Votre médecin peut vous prescrire cet accompagnement qui vous permettra une pratique tout en sécurité.
On l’a abordé dans le cadre de la cicatrisation mais ces gestes s’appliquent aussi au reste du corps. Se toucher, se caresser, s’hydrater ou se gommer : ces moments sont propices à stimuler son rapport à soi. On se reconnecte aussi avec ce corps vivant et résilient et on en profite pour lui transmettre de l’amour, comme on le ferait en câlinant quelqu’un que l’on aime et qu’on aurait envie de choyer.
Prendre soin de son apparence, ce n’est pas superficiel, surtout lorsque le corps est médicalisé. Les soins esthétiques sont de véritables soins de support qui vous accompagnent dans votre parcours de soins. Il est bénéfique de renouer avec son apparence grâce à des soins esthétiques pour se sentir belle et féminine. Certains établissements de santé donnent accès à l’intervention de professionnels pour un soin des mains, de la peau, des ongles ou même une mise en beauté. Vous pouvez par exemple en profiter lors de votre chimiothérapie, ou bien pendant vos examens. Vous pouvez consulter le site Espaces Ligues pour connaître les services disponibles dans votre établissement.
Un cancer c’est surtout beaucoup de changement et de questionnement et on rencontre parfois des difficultés à en parler librement à ses proches. Parler des défis que l’on relève au quotidien et des difficultés à se réconcilier avec son apparence auprès d’un professionnel permet parfois de changer sa perception et de mieux vivre cette épreuve de la vie. Pour trouver une écoute, vous pouvez aussi contacter le numéro gratuit de la ligue nationale contre le cancer : 0800 940 939
Les échanges entre concernées et le partage de conseils et d’astuces, participent à remettre du sens dans cette maladie éprouvante. Ces moments de discussions permettent de sortir de l’isolement et de rester optimiste. L’association Étincelle organise des événements, des ateliers et des espaces d’échange pour un soutien émotionnel pendant et après la maladie. Vous pouvez aussi consulter la carte des associations de patients élaborée par l’Institut National du Cancer.
1. Les soins socio-esthétiques - Image corporelle
2. Soutien psychologique, conseil, écoute | Ligue contre le Cancer
Je m'appelle Tiffany, j'ai 29 ans et je suis maman de jumeaux. Je suis une petite grosse à lunettes, souriante, pétillante et décomplexée.
Il y a 4 ans, j'ai créé un compte instagram qui s'appelle La.grossedame sur lequel je poste des looks, bons plans et astuces grandes tailles.
A travers ce compte, j'essaye de montrer qu'on peut être gros(se), en bonne santé, heureux(se) et super stylé ! Et surtout, j'essaye de donner de la visibilité aux corps gros que l'on ne voit pas assez.
D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été grosse. Mais mon corps a changé à la suite de ma grossesse. Et c'est rigolo, parce que j'étais persuadée que la grossesse ne changerait rien à mon corps. Je me disais "Je suis déjà grosse alors un peu plus ou un peu moins, ça ne changera rien" et pourtant... Mon corps a totalement changé après ça. Oui, j'étais toujours grosse mais mon corps était différent. Après mon accouchement, il était vergeturé, mon ventre était flasque, ma peau détendue... Je crois que je ne m'étais pas préparé à ça et je l'ai assez mal vécu au début.
Je n'ai pas toujours été à l'aise avec mon corps. Je l'ai longtemps détesté et je me suis cachée... Mes parents m'ont emmenée voir des diététiciens dès l'âge de 8 ans, j'ai donc grandi en étant au régime une bonne partie de mon enfance et j'ai longtemps pensé qu'il fallait que je sois mince pour être jolie, trouver l'amour ou encore être heureuse. C'est la rencontre avec mon amoureux qui a bouleversé toutes ces croyances et m'a fait prendre confiance en moi.
Il y a eu deux choses je pense : la rencontre avec mon amoureux qui a été un vrai déclic et la mort de ma grand-mère. J'étais très proche d'elle et je crois que cette disparition m'a fait comprendre combien la vie était si fragile et qu'il fallait arrêter de perdre ce temps si précieux avec des choses futiles.
Non aucun
Je prends soin de moi. Je porte des vêtements qui me plaisent et dans lesquels je me sens belle. Je ne me compare pas aux autres et j'essaye de suivre (sur les réseaux sociaux) des femmes qui me ressemblent et auxquelles je peux m'identifier. Je crois que le fait d'accepter que je sois grosse, d'en rire avec les autres, de rire de moi-même ça m'aide aussi à relativiser.
Dites-vous bien que personne n'est parfait. Si vous passez votre temps à attendre d'être parfait(e) pour vivre de belles choses et pour profiter de la vie, vous ne le ferez jamais.
La vie est courte, nous n'avons pas le temps de perdre notre temps à nous morfondre sur nos kilos en trop.
Qu’elle soit psychologique, esthétique ou sportive, la prise en charge liés aux soins de support est proposée au sein de l’établissement de santé ou à l’extérieur. Précisions sur l’accès à ces séances pensées pour améliorer votre qualité de vie.
Accessibles en France depuis 2005[1] , les soins de support correspondent à « l’ensemble des soins et soutiens nécessaires aux personnes malades tout au long de la maladie, conjointement aux traitements oncologiques ou onco-hématologiques spécifiques lorsqu’il y en a », soulignent les spécialistes de l’Institut national du Cancer (INCa).
Ainsi, dès l’annonce de votre diagnostic, l’équipe référente qui vous suit pourra vous proposer d’avoir recours à des séances d’activité physique adaptée, de nutrition ou de psychologie par exemple[2] . Objectifs : prendre soin de vous, mieux supporter les traitements et gagner en confort au quotidien avec notamment une diminution de la fatigue, de la douleur, des phases nauséeuses et des coups au moral.
Pour les soins de support dispensés pendant les traitements, des bilans nutritionnel, physique et/ou psychologique sont proposés au sein de votre hôpital ou de votre clinique. Ces séances permettent d’évaluer précisément vos besoins et ressources pour mettre en place votre programme personnalisé de soins (PPS).
Les séances de soins de support peuvent ensuite se dérouler au sein de votre établissement de soins : dans ce cas, les intervenants peuvent faire partis de votre équipe de soins ou bien d’une équipe mobile[3] venant de l’extérieur.
Les soins de support se déroulent parfois au sein de centres de lutte contre le cancer ou de structures partenaires comme des associations de proximité.
Enfin, lorsqu’ils sont dispensés en ville (cabine libéral), le trio médecin traitant/pharmacien/infirmier libéral est là pour coordonner votre parcours. Les autres professionnels à même de vous accompagner sont les assistants de service social, les infirmiers libéraux, les pharmaciens d'officine, les diététiciens, les médecins de la douleur, ou encore les kinésithérapeutes, les psychologues, les socio-esthéticiennes.
Au cours de votre suivi, même si vos séances ont lieu à l’extérieur, votre établissement de santé garde un œil sur vos soins de support : votre équipe référente suit l’évolution de vos besoins, de votre qualité de vie et peut vous proposer d’adapter en permanence votre programme personnalisé de soins (PPS).
Les séances peuvent, selon chaque établissement, vous être remboursées intégralement par l’Assurance maladie. Votre complémentaire santé peut aussi couvrir une partie ou la totalité des frais liés à ces soins. N’hésitez pas à vous renseigner pour obtenir toutes les informations sur les tarifs et modalités de prise en charge.
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